La Chèvrerie

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La Chèvrerie
La Chèvrerie
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Val de Charente
Maire
Mandat
Bruno Pagnoux
2020-2026
Code postal 16240
Code commune 16098
Démographie
Gentilé Chévriens
Population
municipale
138 hab. (2021 en augmentation de 4,55 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 02′ 51″ nord, 0° 08′ 21″ est
Altitude Min. 108 m
Max. 133 m
Superficie 4,61 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ruffec
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Nord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Chèvrerie
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La Chèvrerie

La Chèvrerie est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Chévriens et les Chévriennes[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Cette petite commune est une des moins étendues et des moins peuplées du canton. Deux communes seulement ont une superficie moindre et trois ont une population moins nombreuse. La principale voie de communication de la commune est un chemin d'intérêt commun, qui parcourt la commune de l'ouest au nord-est et qui dessert le bourg de La Chèvrerie. Un autre chemin d'intérêt commun forme la limite orientale de la commune.

Quelques chemins vicinaux ordinaires complètent le réseau routier. Il est bon de rappeler que la limite de la commune de La Chèvrerie et de Pailleroux est matérialisée par un chemin antique appelé le Chemin de Bouin.

Le bourg de La Chèvrerie (76 hab.), à cinq kilomètres nord-est de Villefagnan et six kilomètres de Ruffec, n'offre aucune particularité remarquable[2].

La gare la plus proche est celle de Ruffec qui est desservie par un TGV et des navettes TER entre Poitiers et Angoulême.

La LGV Sud Europe Atlantique traversera la commune (début des travaux en 2011, mise en service prévue fin 2015-début 2016)[3].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Le centre de population le plus important est le hameau de la Renaudière, situé au sud du bourg. Parmi les autres hameaux, nous pouvons citer : la Genouillère, chez Matraud et chez Renaud[4].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de La Chèvrerie
Saint-Martin-du-Clocher
Villiers-le-Roux La Chèvrerie Bernac
Villefagnan La Faye

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. Plus particulièrement, le Bathonien occupe la surface communale, avec du Callovien sur un tiers sud-est. Le plateau est toutefois recouvert par des altérites sous forme d'argile rouge à silex[5],[6],[7].

Le relief est celui d'un plateau assez uniforme, avec une combe traversant le nord de la commune. On trouve aussi de nombreux gouffres sous forme de dolines. Le point culminant est à une altitude de 133 m, situé au nord-ouest dans le bois des Fayolles. Le point le plus bas est à 108 m, situé dans la combe au nord-est. Le bourg est à 128 m d'altitude[4].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de la Chèvrerie.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. La commune est dans le bassin de la Charente, mais aucun cours d'eau ne la traverse, dû au terrain karstique[9],[Carte 1].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé au nord du département aux abords du seuil du Poitou.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Chèvrerie est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ruffec, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,7 %), zones urbanisées (11,7 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), forêts (10,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de La Chèvrerie est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Chèvrerie.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 61,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 88 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 88 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Une forme ancienne est Caprearia (non daté)[20].

Le nom de La Chèvrerie a pu désigner un « centre d'élevage de chèvres » sans qu'on puisse le vérifier[21],[22],[Note 3]. Toutefois, l'élevage de chèvres est traditionnel dans le Nord-Charente et le Poitou.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'archéologie aérienne a révélé en 1999 des traces d'enclos circulaires dans des champs[23].

Un mégalithe trouvé sur la commune au XIXème siècle atteste de l'occupation de son territoire dès l'époque néolithique -dite de la Pierre Polie. C'est un polissoir en grès à grains irréguliers, contenant des cailloux en quartz blanc qui lui donnent sur certains points, l'apparence du marbre ; l'une des faces porte onze encoches fusiformes toutes dirigées dans le même sens ; une autre face porte une large cuvette ovale et trois dépressions oblongues qui servaient probablement à polir la partie plate des haches en silex[24]. Il a été trouvé par M. Chauvet en 1877 à la Chèvrerie et donné à la Société archéologique et historique de la Charente par François Guillaud, propriétaire à la Chèvrerie et M. Mandinaud fils, négociant à Ruffec[25],[26].

Il se trouvait autrefois sur le territoire de cette commune un petit château nommé la Tour au Vilain, aussi appelé Tour aux Anglais, dont il reste plus que la fuie du XVIe siècle. C'est une tour à fenêtres carrées, couverte en pierres imbriquées avec une belle lucarne portant un écusson dans une guirlande de feuilles de laurier, qui aurait disparu dans les années 1950. Au-dessous de la corniche règne un bandeau portant l'inscription I.A.1595. Au XVe siècle, les Voluyre (seigneurs de Ruffec) sont seigneurs de la Tour. Par mariage, cette terre passe aux Tisons d'Argence, puis en 1514 aux de La Place, seigneurs de Torsac. En 1592, Pierre de La Place vend ce fief à Joseph de Lesmerie, échevin d'Angoulême. C'est à lui qu'on doit ce pigeonnier, sur lequel il grave ses armes et celles de son épouse, fille du seigneur de Londigny, en 1595. Au XVIIe siècle, les Lesmerie rendent hommage au seigneur de Raix, et vendent le château à son notaire, François Pouyaud, qui mourra en 1792 à la Révolution et dont la tombe existe encore à La Chèvrerie[27].

Au XVIe siècle, le seigneur de La Chèvrerie, Jacques Blondeau, notable de Ruffec, est accusé d'homicide à la suite d'un duel. Il se peut que la demeure des seigneurs de La Chèvrerie soit la Châtaigneraie, logis qu'on trouve encore sur l'ancien cadastre, mais qui a totalement disparu[27].

L'école et la mairie furent construites respectivement en 1883 et 1885. La mare des Chaumes, au pied du bourg, fut aménagée en 1902 pour éviter aux habitants d'aller chercher de l'eau jusqu'à la Péruse en dehors de la commune. L'église fut construite de 1903 à 1905, pour remplacer la chapelle vétuste du cimetière, démolie en 1921[28].

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2014 Marie-Josèphe Maillochaud SE Retraitée Fonction publique territoriale
2014 En cours Bruno Pagnoux    
Les données manquantes sont à compléter.

En 2008 les élus de La Chèvrerie se sont fédérés à l'initiative des élus du Pays Ruffecois avec 17 communes du Nord Charente et 5 des Deux-Sèvres en une fédération qui demande des compensations aux nuisances que va leur apporter la LGV Sud Europe Atlantique[29].

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 138 habitants[Note 4], en augmentation de 4,55 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
303321316338347331326365347
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
338309289307280301302256265
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
254240225203198196180159158
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
140152168149152148136136138
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 36,7 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 72 hommes pour 68 femmes, soit un taux de 51,43 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
12,9 
75-89 ans
13,6 
28,6 
60-74 ans
18,2 
28,6 
45-59 ans
33,3 
7,1 
30-44 ans
10,6 
11,4 
15-29 ans
9,1 
11,4 
0-14 ans
15,2 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

De nombreuses prairies artificielles favorisent l'élevage du bétail, qui est important, et la culture des céréales donne de très bons résultats. Quelques bois se rencontrent principalement dans le nord. On peut remarquer dans cette commune un grand nombre de treilles d'une vigueur toute particulière[2].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans le département, il y a aussi Asnières-sur-Nouère, possible ancien centre d'élevage d'ânes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de la Chèvrerie » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 207
  3. La future ligne TGV Sud-Europe Atlantique entre Tours et Angoulême
  4. a et b Carte IGN sous Géoportail
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ruffec », sur Infoterre, (consulté le ).
  8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  9. « Fiche communale de la Chèvrerie », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  10. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de La Chèvrerie », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Chèvrerie », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Henri Beauchet-Filleau, Pouillé historique du diocèse de Poitiers, t. III, Niort, Clouzot, , 574 p. (lire en ligne), p. 228.
  21. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  22. Jacques Duguet, Noms de lieux des Charentes, éd. Bonneton, , 232 p. (ISBN 2-86253-185-5, présentation en ligne), p. 169
  23. « La Chèvrerie », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
  24. Notes historiques sur les communes de l'ancien arrondissement de Ruffec, Alexis Favraud, 1894-1898, réédition Librairie Bruno Sépulchre, 1987.
  25. Bulletin de la SAHC, 1882, p.131
  26. Catalogue du musée archéologique d'Angoulême, bull. 1885, p.25
  27. a et b Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 258
  28. Panneau explicatif de la mairie.
  29. journal Sud-Ouest du 26 juillet 2008
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Chèvrerie (16098) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le fief de la Tour au Villain, commune de la Chèvrerie, Bulletin de la société archéologique de la Charente, 1987, 1er trimestre, p. 22-24.
  • Préambule à l'histoire de la Chèvrerie, journal communal de la Chèvrerie, 1987.
  • Histoire des églises de la Chèvrerie, journal communal de la Chèvrerie, 1988.
  • Le livre d'or de la Chèvrerie, 1990, 80 p.
  • Une nouvelle église à la Chèvrerie, récit de Jean Sicard, maire de 1893 à 1924, .

Liens externes[modifier | modifier le code]